Urbanisme circulaire – La ville de demain est déjà là.
Aux BioQuartiers, nous pensons qu’il est préférable de densifier l’existant et d’intensifier les usages – donc de privilégier le recyclage des lieux existants. Dans la perspective de leur développement, les petites villes doivent à la fois poursuivre un objectif Zéro artificialisation nette et répondre aux enjeux socio-économiques, en favorisant une densification axée sur l’installation de hameaux ou de logements individuels sur des parcelles occupées. Pour donner vie à ces projets, où la construction hors-site joue un rôle essentiel, vous devez pouvoir compter sur un partenaire assurant à la fois une approche fine et une réalisation maîtrisée.
Les habitats réversibles et écolieux conçus par les BioQuartiers contribuent à :
- la vitalité des territoires en attirant ou conservant de nouveaux ménages et de nouveaux professionnels
- conserver le foncier comme bien commun, avec la possibilité de louer plutôt que de vendre
- ne pas artificialiser les sols (ZAN), les conserver vivants et ne pas créer d’imperméabilisation
- promouvoir une autre façon de vivre et de faire en société, plus sobre, plus sociale mixte et intergénérationnelle
Loi ALUR – Des outils spécifiques.
Une solution souple et évolutive encouragée par la loi.
- La création ponctuelle est justifiée de STECAL pouvant accueillir des constructions réversibles.
- La possibilité de dissocier le foncier du bâti, c’est-à-dire de posséder une maison sans en posséder le terrain, ce qui ouvre la voie a de nouveaux montages d’opération, avec une meilleure maîtrise par la communauté.
- L’exonération de l’accessibilité PMR entre le stationnement et le logement pour valoriser, à l’échelle collective,
- les terrains en pente, sans les dénaturer et à condition que les propriétaires soient les occupants (art R111-18-4).